Les managers sont devenus les boucs émissaires de la souffrance au travail. Il croule sous les normes, réglementation, les audits, les rapports, (reviews), les « réunionnites », la pression des objectifs, les exigences de rentabilité, la compétitivité paroxystique, les besoins d’innovation et d’adaptation permanente, les restructurations décidées ou subies, les risques, les impératifs de performance, une certaine forme de précarité et… les rapports humains.

​

Les aspirations des managers, comme de tout un chacun, et le plus communément de trouver un bon équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle.

Les compétences relationnelles sont devenues une absolue nécessité. Force est de constater que dans toutes les strates de l’entreprise, beaucoup ne les possède pas et en particulier le management. Elle demande des apprentissages constants : bien se connaître est un postulat essentiel, il est le pendant de la confiance.

​

Comment un manager peut-il favoriser le bien-être de ses collaborateurs quand il explose sous les challenges qu’il doit sens à se relever ?

​

Beaucoup de managers atteignent leurs limites de compétences. Alors ils souffrent… et intentionnellement ou non, font souffrir leurs équipes. La volonté de performance efface souvent sur le surinvestissement. Le stress, nécessaire à l’action, fait place à un stress beaucoup plus toxique et souvent chronique, facteur de nombreuses pathologies.

​

La prise de recul, de nouveaux apprentissages et de nouvelles compétences sont essentielles. Ces trois éléments, encadrés et durables favorisent l’autonomie, des espaces de liberté finalement une meilleure employabilité performance.

​

C’est dans ce cadre que l’utilisation d’un coach ExeCoaching (spécialiste du monde de l’entreprise, des neurosciences, de l’accompagnement individuel et du changement) est un outil extrêmement opérationnel et rentable.