Les périodes de changement s’accompagnent souvent de phases de transitions ou d’incertitude avec des pressions externes importantes.

Comme toute organisation, les ressources humaines subissent leur lot de contraintes et de vindictes.

​

On leur demande de trouver puis d’organiser, de former puis des fidéliser les acteurs de l’entreprise dans le but d’induire une performance durable. Pourtant les collaborateurs mêmes sont souvent considérés comme des centres de coûts et rarement de profits.

​

Le niveau d’exigences professionnelles n’a jamais été aussi haut : la motivation est la clé. Pourtant l’entreprise d’aujourd’hui mais bon nombre de ses acteurs au seuil de leurs limites. L’enjeu est de faire évoluer simultanément, mais pas à pas, la culture d’entreprise, les modes de coopération des équipes et organisations et les représentations individuelles.

La dimension « affective » du collaborateur n’est pas un handicap à la performance mais une ressource à l’investissement et à l’innovation. Un individu qui ne progresse pas ou plus est une ressource qui s’altère pour l’entreprise, jusqu’à devenir improductif.

 

La finalité économique et la finalité sociale de l’entreprise se rejoigne. L’activation des talents individuels et collectifs produise plus de valeur pour l’entreprise. S’occuper du bien-être des salariés n’est plus l’apanage unique des sociétés qui se portent bien. Voilà une partie des challenges que doit relever les DRH aujourd’hui.

​